mercredi 6 février 2008

LA POÉSIE CAMARADE

Oui ben tient, fout rien pendant des semaines, et vlati pas qu'il vient nous faire chier avec d'la poésie!
C'est vrai.............Mais j'm'enfout.............C'est MON blog et je fait ce que je veux na.


Donc voilà je ne pouvais m'empêcher de vous poster deux versions différente d'un même poème, certes en allemand, mais que j'adore. Et je ne suis pas le seul puisque les deux interprètes dont je vous parle ne sont autre que RAMMSTEIN pour le premier........................


Le deuxième ou plutôt LA deuxième n'est autre que ma tendre et douce NINA HAGEN oui je sais encore elle. Mais croyez moi là ça vaut la peine d'écouter si avec ça vous en cherchez la traduction!!!!!c'est du subliminal.


Pour ma pars c'est celle là que je préfère.


Ok je ne vais pas vous torturer plus et pour la peine je vous donne même une traduction par moi même que j'espère aussi fidèle que possible.

SEEMAN

"MARIN"



Viens dans ma barque
Une tempête se lève et la nuit tombe
Où veux tu aller ?
Tout seul tu es à la dérive.
Qui tient ta main
Quand les abysses t'entraînent ?
_______________
Où veux tu aller ?
Plus de côte dans cette mer froide
Viens dans ma barque
Le vent d'automne gonfle la voile.
________________
Maintenant tu te tiens là "an der laterne "
Les larmes sur le visage.
La lumière du soir chasse les ombres
Le temps s'arrête et vient l'automne.
_________________
Viens dans ma barque
La nostalgie devient le barreur
Viens dans ma barque
Le meilleur marin c'était bien moi.
_________________
Maintenant tu te tiens là "an der laterne"
les larmes sur le visage.
Tu soufle la bougie
Le temps s'arrête et vient l'automne.
__________________
Ils ne parlaient que de ta mère
Seul la nuit n'a pas plus de pitié.
À la fin je resterai quand même seul
Le temps s'arrête
Et j'ai froid.


C'est toujours délicat de traduire des poèmes. Il y le choix à faire entre le maintient du rythme et de la rime ou l'exactitude littéraire de la traduction. "an der laterne" une expression difficile à traduire. Littéralement il faudrait dire "prés du lampadaire" ce qui fait plutôt pochetron. Dans l'idée cela signifie "être là à ne plus savoir que faire"

Aucun commentaire: